
La journée internationale dédiée à la femme devrait être au Burundi une journée de réflexion par rapport aux défis qui hantent les femmes. C’est du moins ce qu’estime l’ONG locale Parole et Action pour le Réveil et l’Evolution des mentalités PARCEM en sigle. Faustin Ndikumana secrétaire général et représentant légal de la PARCEM indique que les violences basées sur le genre et le manque d’une loi qui réglemente la succession sont surtout des entraves du développement de la femme burundaise. L’ONG locale PARCEM précise qu’il fallait plutôt discuter sur ces différents défis au lieu d’aller dans les célébrations et de trouver des solutions aux problèmes qui hantent les femmes. La PARCEM demande à la première dame de s’investir afin que toutes les personnes qui commettent des exactions contre les femmes et qui les malmènent soient punie.